merci. Je suis toujours gênée de lire des trucs comme ça, parce que je suis très loin de penser la même chose. Sincèrement, je connais des gens qui écrivent magnifiquement bien, je suis loin d'arriver à leur niveau...
Sinon, un texte assez ancien maintenant, pendant longtemps j'ai pensé avoir fait un truc pas trop mal, mais plus je le relis et moins je l'aime. Je le poste quand même, valeur sentimentale vous comprenez...Incandescence
Je sais ton excitation à repousser au loin les limites de l’absolu. Bravons l’Interdit, mon amour. Ensemble, nous irons plus loin que nous ne l’avons jamais fait.
Je me colle à ton corps et je te sens tendu sous moi. Tu frissonnes entre mes bras. Peur, envie ? Les deux à la fois. Je te ressens, mon amour. Tout ira bien. Nous avons la volonté de nous dépasser aujourd’hui. Brisons les barrières que nous avons-nous même érigé. Je te veux, plus fort que jamais. Utopie des sentiments ? Le désir physique nous dirige. Où sont passées les sensations que je croyais connaître avec toi ? Tout me semble si dérisoire.
Ce que je pensais aimer n’est rien à côté de ce que tu me fais ressentir en cet instant. Abandonné, confiant, tu es à la merci de mon imagination.
Je m’étends sur toi, inspirant ton odeur et ton essence. Je veux me remplir de toi, mon amour. Affolement des sens, embrasement des corps. Je t’aime et tu ne le sais pas. Bientôt tout sera fini. Ne t’inquiète pas, je ne t’abandonnerais pas. L’Instant est là. Nos deux corps se fondent l’un dans l’autre, alors que je colle mes lèvres aux tiennes. Aspirer ton souffle m’est devenu vital. Tu me brûles mon amour.
Tu es incandescent sous moi, autour de moi, pour moi. Tu me consumes, comme le ferai la flamme d’un briquet sur une cigarette. Et je n’ai jamais si bien porté mon nom qu’en cet instant.
Tu me consumes, et je deviens Cendres entre tes bras. Tu es ma damnation, mon seul Enfer. Je t’aime, et tu ne le sais toujours pas.
Toi, tu ne cesses de balbutier des mots sans signification aucune. Le plaisir te ravage, et tout ton être l’exprime. L’expression de ton visage est divine et tu n’as jamais été plu beau qu’en cet instant. Si tu pouvais te voir mon amour.
Mes mains glissent le long de ton corps, et tu es parcouru de tremblements intenses. Ton corps est sucré sous mes lèvres, sur ma langue. Tu es l’illustration parfaite de ton prénom. Et ton sang que je perçois à travers tes veines, et ton sang qui coule dans ma bouche alors que je perce ta gorge délicate est tout aussi acidulé et rouge que ton nom.
Tout va bien mon amour. Ta vie se déverse en moi, et je n’ai jamais rien connu d’aussi bon. Ton corps mouvant sous le mien, à la recherche de l’extase, renforce mes sensations. Il en est de même pour toi. Le plaisir charnel est décuplé alors que j’aspire ton sang. Bienvenue au Paradis mon amour. Tu connais désormais l’Absolu et l’Indicible. Nous avons franchi l’Interdit, comme promis. Ensemble pour toujours. Tu es en moi à jamais.
Et tandis que les dernières gouttes de ta vie s’écoulent dans ma gorge, tandis que nous atteignons la jouissance, je pense que je t’aime, et que tu ne le sauras jamais.
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ça c'est un peu dans la même veine que Lucas, en encore plus mauvais... mais ouais, j'ai quand même envie de le montrer, et c'est la première fois. Surement parce que je suis nostalgique des instants où il a été écrit, quand ELLE était encore absolument tout.
Ce Lucas n'est pas spécialement le même qu'avant. Simplement, Lucas reste le personnage - les personnages devrais-je dire - principal de mes écrits. Parce que je l'aime tout simplement, et Lucas signifie tellement, surtout maintenant.J'aime Lucas
Lucas est grand, il a les yeux bleus et les cheveux bruns.
Lucas porte un blouson de cuir noir et des jeans déchirés.
Lucas a vingt ans et en parait dix-huit.
Lucas est beau.
Lucas joue de la musique. Ses longs doigts courent le long de son instrument comme sur le corps d'un amant.
Lucas attire tous les regards.
Lucas est lumineux à l'extérieur et sombre à l'intérieur.
Lucas est froid mais je me suis brûlé(e) à lui.
Lucas est amoureux de moi, il me l'a dit mille fois.
Lucas est tout ça et bien plus encore.
Mais ce n'est pas pour ça que j'aime Lucas.
J'aime Lucas car, où qu'il soit, je sais qu'il pense à moi.
J'aime Lucas car ses yeux s'illuminent lorsqu'il me voit.
J'aime Lucas car il me tient par la main dans la rue.
J'aime Lucas car il m'embrasse toujours quand il faut, et même quand il ne faut pas.
J'aime Lucas car il est fort et faible à la fois.
J'aime Lucas car son odeur reste dans ses chemises que je porte.
J'aime Lucas car son sourire me fait fondre.
J'aime Lucas car avec moi, il est simplement lui.
J'aime Lucas car il m'emmène danser toutes les nuits, et jusqu'au bout de celles-ci.
J'aime Lucas car il aura toujours vingt ans et en paraitra toujours dix-huit.